Le Bon gros géant est une adaptation du livre du même nom écrit par Roald Dahl en 1982. L’auteur britannique est bien connu du grand public, plusieurs de ses romans ayant en effet été adaptés sur grand écran comme Charlie et la chocolaterie de Tim Burton, Matilda de Danny DeVito ou le plus récent Fantastic Mr Fox de Wes Anderson. La sortie de ce film est donc l’occasion de se replonger dans l’univers unique de cet auteur.
Synopsis du film :
Le Bon Gros Géant ne ressemble pas du tout aux autres habitants du Pays des Géants. Il mesure plus de 7 mètres de haut et possède de grandes oreilles et un odorat très fin. Il n’est pas très malin mais tout à fait adorable, et assez secret. Les géants comme le Buveur de sang et l’Avaleur de chair fraîche, sont deux fois plus grands que lui et aux moins deux fois plus effrayants, et en plus, ils mangent les humains. Le BGG, lui, préfère les schnockombres et la frambouille. À son arrivée au Pays des Géants, la petite Sophie, une enfant précoce de 10 ans qui habite Londres, a d’abord peur de ce mystérieux géant qui l’a emmenée dans sa grotte, mais elle va vite se rendre compte qu’il est très gentil. Comme elle n’a encore jamais vu de géant, elle a beaucoup de questions à lui poser. Le BGG emmène alors Sophie au Pays des Rêves, où il recueille les rêves et les envoie aux enfants. Il va tout apprendre à Sophie sur la magie et le mystère des rêves…
Avant leur rencontre, le BGG et Sophie avaient toujours été livrés à eux-mêmes, chacun dans son monde. C’est pourquoi leur affection l’un pour l’autre ne fait que grandir. Mais la présence de la petite fille au Pays des Géants attire bientôt l’attention des autres géants…
Sophie et le BGG quittent bientôt le Pays des Géants pour aller à Londres voir La Reine et l’avertir du danger que représentent les géants. Mais il leur faut d’abord convaincre la souveraine et sa domestique, Mary que les géants existent bel et bien ! Tous ensemble, ils vont mettre au point un plan pour se débarrasser des méchants géants une bonne fois pour toutes…
Pour aller plus loin :
• Le bon gros géant, Roald Dahl, Gallimard. De 9 à 12 ans.
Un soir, Sophie aperçoit de la fenêtre de l’orphelinat une silhouette immense et une main énorme qui s’approche… Un géant! Rêve-t-elle? Roald Dahl adorait le BGG. Retrouvez-le dans sept courtes pièces qui mettent en scène tous les personnages du roman.
Un régal d’humour, d’ingéniosité et de fantaisie.
• Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl, Illustré par Quentin Blake, Gallimard. De 9 à 15 ans.
L’aventure du jeune Charlie Bucket commence le jour où il gagne l’un des cinq tickets d’or permettant de visiter la mystérieuse chocolaterie Wonka. Car Mr. Willy Wonka est le plus incroyable inventeur de chocolat de tous les temps…
Dégustez cette histoire à l’humour féroce, menée tambour battant par le meilleur des conteurs. Un vrai délice !
• Charlie et le grand ascenseur de verre, Roald Dahl, Illustré par Quentin Blake, Gallimard. De 9 à 13 ans.
«Quelle chance, s’écria Mr Wonka, nous sommes tombés pile sur le plus grand événement spatial de tous les temps!»
Woush! Dans le grand ascenseur de verre, Willy Wonka, Charlie Bucket et sa famille survolent la chocolaterie!
Ils voient le monde en bas mais ils ne sont pas seuls: le premier hôtel spatial a ouvert. Et les bêtes les plus méchantes, les plus vindicatives, les plus meurtrières de tout l’univers y rôdent: les Kpoux Vermicieux.
Alors accrochez bien vos estomacs et vos chapeaux! Seuls Charlie et Willy Wonka peuvent empêcher les Kpoux de tout détruire.
• James et la grosse pêche, Roald Dahl, Illustré par Quentin Blake, Gallimard. De 9 à 13 ans.
• Matilda, Roald Dahl, Illustré par Quentin Blake, Gallimard. A partir de 8 ans.
À l’âge de 5 ans, Matilda a lu tous les classiques de la littérature. Pourtant, son existence est loin d’être facile entre une mère indifférente, abrutie par la télévision, et un père d’une franche malhonnêteté. Sans oublier Mlle Legourdin, la directrice de l’école, personnage redoutable qui voue à tous les enfants une haine implacable…

Vous devez être connecté pour poster un commentaire.